Système canadien de surveillance des maladies à déclaration obligatoire - Nombre et taux de cas déclarés de maladies à déclaration obligatoire en Canada Guide Lisez-moi et description de la maladie Limitations L'amibiase a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1927 et retirée après 1999. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. De 1959 à 1968, il est possible que certains cas d'amibiase aient été signalés dans la catégorie « dysenterie non précisée ». Les provinces et les territoires n'ont pas signalé les cas d'amibiase en 1928. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées: L’Alb. n'a pas signalé les cas d’amibiase en 1930 jusqu’à 1935; Le Man. n'a pas signalé les cas d’amibiase en 1927 jusqu’à 1932; Le N.-B. n'a pas signalé les cas d’amibiase en 1927 jusqu’à 1936, 1938 jusqu’à 1950, et 1952 jusqu’à 1955; Les T.-N.-L. n'ont pas signalé les cas d’amibiase en 1949 jusqu’à 1952; La N.-É n'a pas signalé les cas d’amibiase en 1927 jusqu’à 1931; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas d’amibiase en 1927 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L’Ont. n’a pas signalé les cas d’amibiase en 1927 jusqu’à 1930; L’Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas d’amibiase en 1927 jusqu’à 1951, 1969, et 1970; Le Qc n’a pas signalé les cas d’amibiase en 1927 jusqu’à 1933, 1935 jusqu’à 1938, 1943 jusqu’à 1947, et 1954 jusqu’à 1956; La Sask. n’a pas signalé les cas d’amibiase en 1930, et 1960 jusqu’à 1963; Le Yn n’a pas signalé les cas d’amibiase en 1930 jusqu’à 1955, et 1979. Méningite bactérienne a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1979 et retirée après 1999. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Le botulisme a été ajouté à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1933. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables de botulisme. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n'a pas signalé les cas de botulisme en 1933 jusqu’à 1935, 1960, et 1961; Le N.-B. n'a pas signalé les cas de botulisme en 1933 jusqu’à 1951; Les T.-N.-L n'ont pas signalé les cas de botulisme en 1949 jusqu’à 1952; Les T.N.-O n'ont pas signalé les cas de botulisme en 1933 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L’Ont. n'a pas signalé les cas de botulisme en 1956, 1958, 1960, et 1969 jusqu’à 1971; L'Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas de botulisme en 1933 jusqu’à 1935, 1949 jusqu’à 1952, et 1961 jusqu’à 1968; Le Qc n'a pas signalé les cas de botulisme en 1949 jusqu’à 1952, et 1956; La Sask. n'a pas signalé les cas de botulisme en 1933 jusqu’à 1952; Le Yn n'a pas signalé les cas de botulisme en 1933 jusqu’à 1955, 1958, et 1960. La brucellose a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1928. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables de brucellose. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n'a pas signalé les cas de brucellose en 1928 jusqu’à 1930, 1957, 1958, et 1960; La C.-B. n'a pas signalé les cas de brucellose en 1928; Le Man. n'a pas signalé les cas de brucellose en 1928 jusqu’à 1930, 1932, et 1933; Le N.-B. n'a pas signalé les cas de brucellose en 1928 jusqu’à 1936, 1943, 1944, 1947, 1949, 1951, 1952, 1954, et 1955; La N.-É. n'a pas signalé les cas de brucellose en 1928 et 1929; Les T.N.-O n'ont pas signalé les cas de brucellose en 1928 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L'Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas de brucellose en 1928 jusqu’à 1935, 1949 jusqu’à 1951, et 1971 jusqu’à 1979; Le Qc n'a pas signalé les cas de brucellose en 1928 jusqu’à 1932; La Sask. n'a pas signalé les cas de brucellose en 1928 et 1929; Le Yn n'a pas signalé les cas de brucellose en 1928 jusqu’à 1955. La campylobactériose a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1986. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Le Man. n'a pas signalé les cas de campylobactériose en 1988 jusqu’à 1933. La population de cette province n'est pas incluse dans le calcul du taux. La chlamydiose a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1991. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Le N.-B. n'a pas signalé les cas de chlamydiose en 1991. La population de cette province n'est pas incluse dans le calcul du taux. Le choléra a été ajouté à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1930. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations de cette province et de ces territoires ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : Les T.N.-O n'a pas signalé les cas de choléra en 1930 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L'Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas de choléra en 1930 jusqu’à 1956, 1958, et 1960 jusqu’à 1978; Le Yn n'a pas signalé les cas de choléra en 1930 jusqu’à 1956. La coqueluche est déclarée depuis 1924. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables de coqueluche. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : Les T.N.-O. n'ont pas signalé les cas de coqueluche en 1924 jusqu'à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de coqueluche en 1924 jusqu'à 1928; Le Yn n’a pas signalé les cas de coqueluche en 1924 jusqu'à 1955. La cryptosporidiose a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2000. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables de cryptosporidiose. Le Qc n’a pas signalé les cas de cryptosporidiose en 2000 jusqu’à 2003. La population de cette province n’est pas incluse dans le calcul du taux. La cyclosporose a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2000. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables de cyclosporose. Les populations des provinces suivantes ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : o Le N.-B. n’a pas signalé les cas de cyclosporose en 2000 jusqu’à 2014; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de cyclosporose en 2000 jusqu’à 2012; Le Qc n’a pas signalé les cas de cyclosporose en 2000 jusqu’à 2003. La diarrhée associée à Clostridium difficile a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2009. Certains territoires et provinces ont signalé des cas de diarrhée associée à Clostridium difficile dans le cadre d'éclosions en milieu hospitalier en 2009 jusqu'à 2016. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. et la N.-É. n'ont pas signalé les cas de diarrhée associée à Clostridium difficile en 2009 jusqu’à 2011 ; La C.-B., le Nt, l'Ont, le Qc, et la Sask. n'ont pas signalé les cas de diarrhée associée à Clostridium difficile en 2009 jusqu’à 2016 ; Le N.-B. n’a pas signalé les cas de diarrhée associée à Clostridium difficile en 2009 jusqu’à 2014 ; Les T.-N.-L. et le Yn n'ont pas signalé les cas de diarrhée associée à Clostridium difficile en 2009 jusqu’à 2012 ; La diphtérie est déclarée depuis 1924. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations de cette province et de ces territoires ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de diphtérie en 1924 jusqu’à 1928; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de diphtérie en 1924 jusqu’à 1858, et 1960 jusqu’à 1962; Le Yn n’a pas signalé les cas de diphtérie en 1924 jusqu’à 1955. La dysenterie (type non précisé) a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1959. De 1959 à 1968, il est possible que certains cas d'amibiase aient été signalés dans la catégorie « dysenterie non précisée ». Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de dysenterie (type non précisé) en 1960 jusqu’à 1962; L’Ont. et le Yn n’ont pas signalé les cas de dysenterie (type non précisé) en 1960; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de dysenterie (type non précisé) en 1960 jusqu’à 1963; La Sask. n’a pas signalé les cas de dysenterie (type non précisé) en 1960 jusqu’à 1967. L'empoisonnement alimentaire a été ajouté à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1959. L'empoisonnement alimentaire comprend les staphylocoques et d'autres bactéries non précisées, mais pas la salmonelle, qui est signalée séparément. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. et le Yn n'ont pas signalé les cas d'empoisonnement alimentaire en 1960; Les T.N.-O n'ont pas signalé les cas d'empoisonnement alimentaire en 1960 jusqu’à 1962; L’Ont. n'a pas signalé les cas d'empoisonnement alimentaire en 1960 jusqu’à 1967, et 1971 jusqu’à 1977. La fièvre jaune a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1930. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables de fièvre jaune. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de fièvre jaune en 1930 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L’Ont. n’a pas signalé les cas de fièvre jaune en 1960; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de fièvre jaune en 1930, 1956, 1958, et 1960 jusqu’à 1978; Le Qc n’a pas signalé les cas de fièvre jaune en 1956; Le Yn n’a pas signalé les cas de fièvre jaune en 1930 jusqu’à 1956. La fièvre scarlatine et l'angine à streptocoques sont déclarées depuis 1924. La fièvre scarlatine et l'angine à streptocoques ont été retirées de la liste des maladies à déclaration obligatoire après 1978. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : Les T.N.-O. n'ont pas signalé les cas de fièvre scarlatine et l'angine à streptocoques en 1924 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de fièvre scarlatine et l'angine à streptocoques en 1924 jusqu’à 1928; Le Yn n’a pas signalé les cas de fièvre scarlatine et l'angine à streptocoques en 1924 jusqu’à 1955. Les fièvres hémorragiques virales ont été ajoutées à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1979, enlevées après 1982 puis ajoutées de nouveau en 2002. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. La giardiase a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1983. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Le Man. n'a pas signalé les cas de giardiase en 1991 jusqu’à 1996. La population de cette province n'est pas incluse dans le calcul du taux. La gonorrhée est déclarée depuis 1924. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les provinces et les territoires n'ont pas signalé les cas de gonorrhée en 1925 et 1926. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb., Le N.-B., L'Î.-P.-É., et la Sask. n'ont pas signalé les cas de gonorrhée en 1924 jusqu’à 1930 ; La C.-B. n'a pas signalé les cas de gonorrhée en 1924 jusqu’à 1938 ; Le Man. n'a pas signalé les cas de gonorrhée en 1924 jusqu’à 1937 ; La N.-É. n'a pas signalé les cas de gonorrhée en 1924 jusqu’à 1926 ; Les T.N.-O. n'ont pas signalé les cas de gonorrhée en 1924 jusqu’à 1958 ; Le Qc n'a pas signalé les cas de gonorrhée en 1924 jusqu’à 1943 ; Le Yn n'a pas signalé les cas de gonorrhée en 1924 jusqu’à 1955. L'hépatite (type non précisé) a été incluse dans le groupe des infections transmissibles sexuellement et par le sang, mais pourrait également comprendre des formes d'hépatite transmissibles par d'autres moyens. L'hépatite (type non précisé) a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1959 et retirée après 1968. Les T.N.-O. n'ont pas signalé les cas d'hépatite (type non précisé) en 1960 jusqu'à 1962. La population de ce territoire n'est pas incluse dans le calcul du taux. L'hépatite A a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1927, retirée après 1958, puis ajoutée de nouveau en 1969. Étant donné que l'hépatite A et l'hépatite B ont été signalées en tant que catégorie mixte de 1959 à 1968 en vue de faciliter la compréhension à long terme, les données de cette période ont été exclues. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables d’hépatite A. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n'a pas signalé les cas d'hépatite A en 1927 jusqu’à 1946, 1948, 1956, et 1957; La C.-B. n'a pas signalé les cas d'hépatite A en 1927 jusqu’à 1938, et 1940 jusqu’à 1944; Le Man. n'a pas signalé les cas d'hépatite A en 1927 jusqu’à 1951; Le N.-B. n'a pas signalé les cas d'hépatite A en 1927 jusqu’à 1952; Les T.-N.-L. n'ont pas signalé les cas d'hépatite A en 1949; La N.-É. n'a pas signalé les cas d'hépatite A en 1927 jusqu’à 1936, 1940, 1941, 1947, et 1956; Les T.N.-O. n'ont pas signalé les cas d'hépatite A en 1927; L’Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas d'hépatite A en 1927 jusqu’à 1953; Le Qc n'a pas signalé les cas d'hépatite A en 1927 jusqu’à 1951, et 1956; La Sask. n'a pas signalé les cas d'hépatite A en 1927 jusqu’à 1930; Le Yn n'a pas signalé les cas d'hépatite A en 1927, et 1929 jusqu’à 1955. Dans le cadre de la déclaration de l'hépatite B, aucune distinction ne se trouve entre les cas d'infection aiguë et les cas d'infection chronique. L'hépatite B a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en tant que maladie distincte en 1969. La Colombie-Britannique n'a signalé que des cas d'hépatite B aiguë en 2005 et 2006, et a commencé à inclure les cas d'infection chronique de l'hépatite B en 2007. L'Ontario n'a signalé que des cas d'hépatite B aiguë en 2009 et 2010, et a commencé à inclure les cas d'infection chronique de l'hépatite B en 2011. La Sask. n'a signalé que des cas d'hépatite B aiguë en 2007 et 2008, et a commencé à inclure les cas d'infection chronique de l'hépatite B en 2009. Le Yn a commencé à inclure les cas d'infection chronique de l'hépatite B en 2008. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables d'infection chronique de l'hépatite B. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces suivantes ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Ont. n'a pas signalé les cas d'hépatite B en 1969 et 1970; L'Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas d'hépatite B en 1969 jusqu’à 1978. L'hépatite C a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1991. Dans le cadre de la déclaration de l'hépatite C, aucune distinction n'est faite entre les cas d'infection aiguë et les cas d'infection chronique ou non résolue. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces suivantes ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : Le Man. n’a pas signalé les cas d'hépatite C en 1991 jusqu’à 1998; Le N.-B., les T.-N.-L., et les T.N.-O. n'ont pas signalé les cas d'hépatite C en 1991 et 1992; La N.-É. et le Qc n'ont pas signalé les cas d'hépatite C en 1991 jusqu’à 1995; Le Yn n’a pas signalé les cas d'hépatite C en 1991 jusqu’à 1993. L'hépatite non A, non B a été incluse dans le groupe des infections transmissibles sexuellement et par le sang, mais pourrait également comprendre des formes d'hépatite transmissibles par d'autres moyens. L'hépatite non-A, non-B a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1983, retirée après 1989, puis ajoutée de nouveau en 1991. L'infection à Escherichia coli producteur de vérotoxine a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1991. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables d’infection à Escherichia coli producteur de vérotoxine. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et du territoire suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : La C.-B., la N.-É. et le Yn n'ont pas signalé les cas d'infection à Escherichia coliproducteur de vérotoxine en 1991; Le N.-B. n’a pas signalé les cas d'infection à Escherichia coli producteur de vérotoxine en 1991 et 1992. L'infection à norovirus a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2007. Pour les norovirus, certaines provinces ou certains territoires signalent uniquement les données agrégées pour les éclosions. Ces données ne sont pas incluses. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n’a pas déclaré les cas d'infection à norovirus en 2007 jusqu’à 2011; La C.-B. et l'Î.-P.-É. n’ont pas déclaré les cas d'infection à norovirus en 2007 jusqu’à 2015; Le Man., le N.-B., la N.-É., les T.N.-O., l'Ont., et le Qc n’ont pas déclaré les cas d'infection à norovirus en 2007 jusqu’à 2016. L'infection invasive à Haemophilus influenzae de sérotype b (Hib) a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1986. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Le Nouveau-Brunswick n'a pas déclaré les cas d'infection invasive à Haemophilus influenzae de type B en 2007 jusqu’à 2016. La population de cette province n'est pas incluse dans le calcul du taux. L'infection invasive à Haemophilus influenzae de sérotype non b a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2007. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations de ces provinces et de ce territoire ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb n’a pas déclaré les cas d'infection invasive à Haemophilus influenzae de sérotype non b en 2007 jusqu’à 2011; La C.-B. n’a pas déclaré les cas d'infection invasive à Haemophilus influenzae de sérotype non b en 2007 jusqu’à 2010; Le N.-B., la N.-É., et les T.N.-O. n’ont pas déclaré les cas d'infection invasive à Haemophilus influenzae de sérotype non b en 2007 jusqu’à 2016; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas d'infection invasive à Haemophilus influenzae de sérotype non b en 2007 jusqu’à 2012. Les pneumococcies invasives ont été ajoutées à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2000. Les pneumococcies invasives comprennent la méningite à pneumocoques, qui est une catégorie plus vaste pouvant comprendre d'autres infections invasives à pneumocoques. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables de pneumococcie invasive. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. L’Ont. n’a pas signalé les cas de pneumococcie invasive en 2000. La population de cette province n'est pas incluse dans le calcul du taux. L'infection invasive à méningocoques est déclarée depuis 1924. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et du territoire suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n'a pas signalé les cas d'infection invasive à méningocoques en 1957; Les T.N.-O. n'ont pas signalé les cas d'infection invasive à méningocoques en 1960 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L’Ont. n'a pas signalé les cas d'infection invasive à méningocoques en 1962 et 1963; L'Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas d'infection invasive à méningocoques en 1924 jusqu’à 1930, 1962, et 1963; Le Yn n'a pas signalé les cas d'infection invasive à méningocoques en 1924 jusqu’à 1955. La streptococcie due au streptocoque du groupe B chez le nouveau-né a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2000. Les données sur la streptococcie due au streptocoque du groupe B chez le nouveau-né ne comprennent que les totaux nationaux sans catégorisation soit par âge ou par sexe. Les dénominateurs pour les calculs de taux de streptococcie due au streptocoque du groupe B chez le nouveau-né en 2000 jusqu’à 2015 sont les naissances vivantes. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces suivantes ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb n’a pas déclaré les cas de streptococcie due au streptocoque du groupe B chez le nouveau-né en 2000 jusqu’à 2010; Le Man. n’a pas déclaré les cas de streptococcie due au streptocoque du groupe B chez le nouveau-né en 2000 jusqu’à 2014; Le Qc n’a pas déclaré les cas de streptococcie due au streptocoque du groupe B chez le nouveau-né en 2000 jusqu’à 2016. L'infection invasive à streptocoques du groupe A a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2000. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables d’infection invasive à streptocoques du groupe A. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les données sur le VIH ne comprennent que les totaux nationaux sans catégorisation soit par âge ou par sexe. Veuillez consulter les rapports du système de surveillance du VIH. L'infection au VIH a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2000. L'infection au virus du Nil occidental a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2003. Les données sur l'infection au virus du Nil occidental ne comprennent que les totaux nationaux des cas probables et confirmés. Pour plus d'information, veuillez consulter les rapports du système de surveillance du VNO. La grippe confirmée en laboratoire a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2000. Les données sur la grippe ne comprennent que les totaux nationaux sans catégorisation soit par âge ou par sexe. Les données sur la grippe sont saisonnières (d'août à août). Les données sur la grippe de 2005 jusqu'à 2016 sont disponibles ici. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. L'influenza épidémique est déclarée depuis 1924 et a été retirée de la liste des maladies à déclaration obligatoire après 1958. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. Les population des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n’a pas signalé les cas d'influenza épidémique en 1924, 1925, 1927, 1929, 1930, 1949 jusqu’à 1951, et 1955 jusqu’à 1958; La C.-B. n’a pas signalé les cas d'influenza épidémique en 1926; Le N.-B. n’a pas signalé les cas d'influenza épidémique en 1956 jusqu’à 1928; Les T.-N.-L. n’ont pas signalé les cas d'influenza épidémique en 1949, 1950, 1954, et 1956 jusqu’à 1958; Les T.N.-O. n'ont pas signalé les cas d'influenza épidémique en 1924 jusqu’à 1958; L'Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas d'influenza épidémique en 1924 jusqu’à 1928; Le Qc et la Sask. n'ont pas signalé les cas d'influenza épidémique en 1958; Le Yn n'a pas signalé les cas d'influenza épidémique en 1924 jusqu’à 1955, et 1958. L'intoxication à la phycotoxine paralysante a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2007. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb, le Man., les T.N.-O., et la Sask. n'ont pas signalé les cas d'intoxication à la phycotoxine paralysante en 2007 jusqu’à 2016; Le N.-B. n’a pas signalé les cas d'intoxication à la phycotoxine paralysante en 2007 jusqu’à 2014; Le Nt n’a pas signalé les cas d'intoxication à la phycotoxine paralysante en 2007 jusqu’à 2011; L’Ont. n’a pas signalé les cas d'intoxication à la phycotoxine paralysante en 2007 jusqu’à 2013; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas d'intoxication à la phycotoxine paralysante en 2007 jusqu’à 2012; Le Qc n’a pas signalé les cas d'intoxication à la phycotoxine paralysante en 2007 jusqu’à 2016. La légionellose a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1986. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. La lèpre a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1925. Les provinces et les territoires n'ont pas signalé les cas de lèpre en 1929. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les population des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n'a pas signalé les cas de lèpre en 1925 jusqu’à 1930, et 1961; La C.-B. n'a pas signalé les cas de lèpre en 1926 jusqu’à 1930; Le Man. et le N.-B. n’ont pas signalé les cas de lèpre en 1925 jusqu’à 1930; La N.-É n'a pas signalé les cas de lèpre en 1925 jusqu’à 1931; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de lèpre en 1925 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L'Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas de lèpre en 1925 jusqu’à 1935, 1949 jusqu’à 1952, 1956, 1958, et 1960 jusqu’à 1978; Le Qc n'a pas signalé les cas de lèpre en 1925 jusqu’à 1929; La Sask. n'a pas signalé les cas de lèpre en 1925, 1927, 1928, 1929, et 1979; Le Yn n'a pas signalé les cas de lèpre en 1925 jusqu’à 1956. La listériose a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1990. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n'a pas signalé les cas de listériose en 1992 jusqu’à 1997; La N.-É n'a pas signalé les cas de listériose en 1992 jusqu’à 1998; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de listériose en 2007 jusqu’à 2011; Le Qc n'a pas signalé les cas de listériose en 1992 jusqu’à 1999. La maladie de Creutzfeldt-Jakob a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2000. Les données sur la maladie de Creutzfeldt-Jakob sont disponibles ici. Veuillez consulter les rapports du système de surveillance de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. La maladie de Lyme a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2009. Les données de la SSMDC sur la maladie de Lyme indiquent un nombre relativement statique de cas confirmés. Pour des informations plus récemment mises à jour, veuillez consulter les rapports du système de surveillance de la maladie de Lyme. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. La maladie du charbon a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1930, retirée après 1982 puis ajoutée de nouveau en 2002. Les provinces et les territoires n'ont pas signalé les cas de maladie du charbon en 1930. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n'a pas signalé les cas de maladie du charbon en 1956, 1958, 1960, et 1961; Le N.-B. n'a pas signalé les cas de maladie du charbon en 1931 jusqu’à 1952; Les T.N.-O. n'ont pas signalé les cas de maladie du charbon en 1960 jusqu’à 1962, et 1924 jusqu’à 1958; L’Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de maladie du charbon en 1931, 1956, 1958, et 1960 jusqu’à 1978; Le Qc n’a pas signalé les cas de maladie du charbon en 1956 et 1958; Le Yn n’a pas signalé les cas de maladie du charbon en 1931 jusqu’à 1956. La méningite à pneumocoques a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1979 et retirée après 1999. Depuis 2000, la méningite à pneumocoques est signalée sous le nom de pneumococcie invasive, qui est une catégorie plus vaste pouvant comprendre d'autres infections invasives à pneumocoques. La méningite virale a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1959. Les populations des provinces et du territoire suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb et la Sask. n’ont pas signalé les cas de méningite virale en 1961; Les T.N.-O n’ont pas signalé les cas de méningite virale en 1960 jusqu’à 1962; L’Ont. n’a pas signalé les cas de méningite virale en 1960 jusqu’à 1974; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de méningite virale en 1961 jusqu’à 1965, 1969, et 1970. Les oreillons sont déclarés depuis 1924. Les oreillons ont été retirés de la liste des maladies à déclaration obligatoire après 1958 et ajoutés de nouveau en 1986. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L'Alb. et le N.-B. n'ont pas signalé les cas d'oreillons en 1956 jusqu’à 1958; Les T.-N.-L. n'ont pas signalé les cas d'oreillons en 1957 et 1958; Les T.N.-O. n'ont pas signalé les cas d'oreillons en 1924 jusqu’à 1958; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas d'oreillons en 1924 jusqu’à 1929, 1957, et 1958; Le Qc n’a pas signalé les cas d'oreillons en 1924 jusqu’à 1927; La Sask. n’a pas signalé les cas d'oreillons en 1957 et 1958; Le Yn n’a pas signalé les cas d'oreillons en 1924 jusqu’à 1955, et 1958. Le paludisme a été ajouté à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1929. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Le paludisme a été retiré de la liste des maladies à déclaration obligatoire après 1978 et ajouté de nouveau en 1983. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables du paludisme. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n'a pas signalé les cas de paludisme en 1929 jusqu’à 1935, 1956, 1958, 1960, et 1961; Le Man. n'a pas signalé les cas de paludisme en 1929 jusqu’à 1944, et 1948; Le N.-B. n'a pas signalé les cas de paludisme en 1929 jusqu’à 1948, et 1950 jusqu’à 1952; Les T.-N.-L. n’ont pas signalé les cas de paludisme en 1949 jusqu’à 1951; La N.-É. n'a pas signalé les cas de paludisme en 1929 jusqu’à 1931; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de paludisme en 1929 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L’Ont. n'a pas signalé les cas de paludisme en 1930 et 1960; L’Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas de paludisme en 1930 jusqu’à 1934, 1949 jusqu’à 1951, 1956, 1958, et 1960 jusqu’à 1978; Le Qc n'a pas signalé les cas de paludisme en 1929 jusqu’à 1948, et 1956; La Sask. n'a pas signalé les cas de paludisme en 1929 et 1930; Le Yn n'a pas signalé les cas de paludisme en 1929 jusqu’à 1956. Les données sur la paralysie flasque aiguë sont obtenues à partir du système de surveillance de la paralysie flasque aiguë du Canada. Pour obtenir plus de renseignements sur ce système, veuillez consulter le système de surveillance de la paralysie flasque aiguë du Canada. La paralysie flasque aiguë a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2000. La population de moins de 15 ans seulement est visée par la surveillance de la paralysie flasque aiguë. La paratyphoïde est déclarée depuis 1924. La paratyphoïde a été retirée de la liste des maladies à déclaration obligatoire après 1952, puis ajoutée de nouveau en 1969. Depuis 2000, la paratyphoïde est incluse dans la catégorie de la salmonellose. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n’a pas signalé les cas de paratyphoïde en 1924 jusqu’à 1928, et 1930; La C.-B. et le Qc n’ont pas signalé les cas de paratyphoïde en 1924 jusqu’à 1929; Le Man. n’a pas signalé les cas de paratyphoïde en 1924 jusqu’à 1931, et 1935; Le N.-B. et l'Î.-P.-É. n’ont pas signalé les cas de paratyphoïde en 1924 jusqu’à 1930; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de paratyphoïde en 1924 jusqu’à 1952; L’Ont. n’a pas signalé les cas de paratyphoïde en 1924 jusqu’à 1926; La Sask. n’a pas signalé les cas de paratyphoïde en 1927 et 1928; Le Yn n’a pas signalé les cas de paratyphoïde en 1924 jusqu’à 1952. La peste a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1930. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations de la province et des territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : Les T.N.-O n'ont pas signalé les cas de peste en 1930 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de peste en 1956, 1958, 1963 jusqu’à 1978, et 1960 jusqu’à 1962; Le Yn n’a pas signalé les cas de peste en 1930 jusqu’à 1956. La poliomyélite est déclarée depuis 1924. En 1994, la région OMS des Amériques, qui comprend le Canada, a été certifiée exempte de poliomyélite. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n'a pas signalé les cas de poliomyélite en 1925; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de poliomyélite en 1924 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L’Ont. n'a pas signalé les cas de poliomyélite en 1924; L'Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas de poliomyélite en 1924 jusqu’à 1928; Le Yn n'a pas signalé les cas de poliomyélite en 1924 jusqu’à 1955. La rage a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1927. Les provinces et les territoires n'ont pas signalé les cas de rage en 1929 et 1930. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables de rage. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb, la C.-B., le Man., le N.-B., et la Sask. n’ont pas signalé les cas de rage en 1927 et 1928; Les T.-N.-L. n'a pas signalé les cas de rage en 1949 jusqu'à 1952; La N.-É. n'a pas signalé les cas de rage en 1927 jusqu’à 1931; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de rage en 1927 jusqu'à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L’Ont. n'a pas signalé les cas de rage en 1960; L'Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas de rage en 1927, 1928, 1956, 1958, et 1960 jusqu’à 1978; Le Qc n'a pas signalé les cas de rage en 1927, 1928, et 1956; Le Yn n'a pas signalé les cas de rage en 1927 jusqu’à 1956. La rougeole est déclarée depuis 1924. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : La C.-B. n'a pas signalé les cas de rougeole en 1969 et 1970; Le N.-B. n'a pas signalé les cas de rougeole en 1956 jusqu’à 1958, 1969, et 1970; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de rougeole en 1924 jusqu’à 1958; L’Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas de rougeole en 1924 jusqu’à 1928, 1957, 1958, 1969 jusqu’à 1971, 1973 jusqu’à 1978, 1987, et 1988; La Sask. n'a pas signalé les cas de rougeole en 1957 et 1958; Le Yn n'a pas signalé les cas de rougeole en 1924 jusqu’à 1955. La rubéole est déclarée depuis 1924. La rubéole a été retirée de la liste des maladies à déclaration obligatoire après 1958 puis ajoutée de nouveau en 1969. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : La C.-B. n’a pas signalé les cas de rubéole en 1969 et 1970; Le Man. n’a pas signalé les cas de rubéole en 1924 jusqu’à 1930; Le N.-B. n’a pas signalé les cas de rubéole en 1924 jusqu’à 1931, 1933 jusqu’à 1941, 1943, 1945 jusqu’à 1949, 1951, et 1956 jusqu’à 1958; La N.-É. n’a pas signalé les cas de rubéole en 1958; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de rubéole en 1924 jusqu’à 1958; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de rubéole en 1924 jusqu’à 1935, 1954 jusqu’à 1958, et 1969 jusqu’à 1978; Le Qc. n’a pas signalé les cas de rubéole en 1924 jusqu’à 1927; La Sask. n’a pas signalé les cas de rubéole en 1957 et 1958; Le Yn n’a pas signalé les cas de rubéole en 1924 jusqu’à 1955, et 1958. La salmonellose a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1959. Depuis 2000, la salmonellose comprend la paratyphoïde. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : Les T.N.-O. n'ont pas signalé les cas de salmonellose en 1960 jusqu’à 1962; L’Ont. n’a pas signalé les cas de salmonellose en 1960 jusqu’à 1966; L'Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas de salmonellose en 1960 jusqu’à 1963, et 1967; Le Yn n'a pas signalé les cas de salmonellose en 1960. La shigellose est déclarée depuis 1924. Les provinces et les territoires n'ont pas signalé les cas de shigellose en 1925, 1927 et 1929. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n’a pas signalé les cas de shigellose en 1924 jusqu’à 1935; La C.-B. n’a pas signalé les cas de shigellose en 1924 jusqu’à 1929; Le Man. n’a pas signalé les cas de shigellose en 1924 jusqu’à 1941; Le N.-B. n’a pas signalé les cas de shigellose en 1924 jusqu’à 1954; Les T.-N.-L. n’ont pas signalé les cas de shigellose en 1949 et 1950; La N.-É. n’a pas signalé les cas de shigellose en 1924 jusqu’à 1931; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de shigellose en 1924 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L’Ont. n’a pas signalé les cas de shigellose en 1924 jusqu’à 1930; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de shigellose en 1924 jusqu’à 1951; Le Qc n’a pas signalé les cas de shigellose en 1924 jusqu’à 1933, et 1935 jusqu’à 1938; La Sask. n’a pas signalé les cas de shigellose en 1930; Le Yn n’a pas signalé les cas de shigellose en 1924 jusqu’à 1955. Le sida a été ajouté à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1986; les données ne comprennent que les totaux nationaux sans catégorisation soit par âge ou par sexe. Veuillez consulter les rapports du système de surveillance du VIH/sida. Les populations des provinces suivantes ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : La C.-B. n’a pas signalé les cas de sida en 2016; Le Qc n'a pas signalé les cas de sida en 2003 jusqu’à 2016; Le T.-N.-L. n'a pas signalé les cas de sida en 2009 jusqu’à 2016. L’Î.-P.-É n'a pas signalé les cas de sida en 2012 jusqu’à 2016. Le syndrome de rubéole congénitale a été ajouté à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1979. Les données comprennent que les totaux nationaux sans catégorisation soit par âge ou par sexe. Les dénominateurs pour les calculs de taux de Syndrome de rubéole congénitale sont les naissances vivantes. Avant 1979, il est possible que certains cas de Syndrome de rubéole congénitale aient été signalés dans la catégorie « rubéole ». De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables de rubéole congénitale. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Le syndrome pulmonaire à hantavirus a été ajouté à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 2000. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations de ces provinces ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L'Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas de syndrome pulmonaire à Hantavirus en 2000 jusqu’à 2012; Le N.-B. n'a pas signalé les cas de syndrome pulmonaire à Hantavirus en 2000 jusqu’à 2014. Le SRAS a été ajouté à la liste des maladies à déclaration obligatoire après la fin de l'éclosion de cette maladie en 2003-2004. Les provinces et les territoires n'ont pas déclaré les cas de SRAS en 2004. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n’a pas signalé les cas de SRAS en 2012 jusqu’à 2016; La C.-B. n’a pas signalé les cas de SRAS en 2009 jusqu’à 2016; Le Man. n’a pas signalé les cas de SRAS en 2015 et 2016; Le N.-B. n’a pas signalé les cas de SRAS en 2012 jusqu’à 2014; La Sask. n’a pas signalé les cas de SRAS en 2013 jusqu’à 2016. La syphilis est déclarée depuis 1924. Les provinces et les territoires n'ont pas signalé les cas de syphilis en 1925 et 1926. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. Dans le cadre de la déclaration de la syphilis, aucune distinction n'est établie entre les diverses catégories, à l'exception de la syphilis congénitale qui est signalée séparément. La Colombie-Britannique n’a signalé que des cas de syphilis infectieuse en 1998 jusqu'à 2016. La Saskatchewan n'a signalé que des cas de syphilis infectieuse en 2005 jusqu’à 2011. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb, le N.-B., l’Î.-P.-É., et la Sask. n'ont pas signalé les cas de syphilis en 1924 jusqu’à 1930; La C.-B. n’a pas signalé les cas de syphilis en 1924 jusqu’à 1938; Le Man. n’a pas signalé les cas de syphilis en 1924 jusqu’à 1937; La N.-É. n’a pas signalé les cas de syphilis en 1924; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de syphilis en 1924 jusqu’à 1958; Le Qc n’a pas signalé les cas de syphilis en 1924 jusqu’à 1943; Le Yn n’a pas signalé les cas de syphilis en 1924 jusqu’à 1955. La syphilis congénitale a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1993. Les données ne comprennent que les totaux nationaux sans catégorisation soit par âge ou par sexe. Les dénominateurs pour les calculs de taux de syphilis congénitale en 1993 jusqu'en 2013 sont les naissances vivantes. Avant 1993, il est possible que certains cas de syphilis congénitale aient été signalés dans la catégorie « syphilis ». De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables de syphilis congénitale. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Le tétanos a été ajouté à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1957. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n’a pas signalé les cas de tétanos en 1957 et 1958; Les T.N.-O. n'ont pas signalé les cas de tétanos en 1957, 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L'Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas de tétanos en 1957, 1958, 1961 jusqu’à 1970, et 1979; Le Yn n'a pas signalé les cas de tétanos en 1957. La trichinose a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1929 puis enlevée après 1999. Les provinces et les territoires n'ont pas signalé les cas de trichinose en 1930. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n’a pas signalé les cas de trichinose en 1929 jusqu’à 1935, 1954 jusqu’à 1958, 1960, et 1961; La C.-B. et la Sask. n’ont pas signalé les cas de trichinose en 1929; Le Man. n’a pas signalé les cas de trichinose en 1929 jusqu’à 1952; Le N.-B. n’a pas signalé les cas de trichinose en 1929 jusqu’à 1955; Les T.-N.-L. n’ont pas signalé les cas de trichinose en 1949 jusqu’à 1952; La N.-É. n’a pas signalé les cas de trichinose en 1931; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de trichinose en 1929 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de trichinose en 1929 jusqu’à 1935, 1949 jusqu’à 1958, 1960 jusqu’à 1970, et 1972 jusqu’à 1978; Le Qc n’a pas signalé les cas de trichinose en 1929 jusqu’à 1939, 1941 jusqu’à 1948, 1955, et 1956; Le Yn n’a pas signalé les cas de trichinose en 1929 jusqu’à 1957. La tuberculose est déclarée depuis 1924. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables de tuberculose. Cette situation a pu causer une sur-déclaration du nombre de cas au cours de ces années. Les populations de la province et des territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de tuberculose en 1924 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de tuberculose en 1924 jusqu’à 1928, et 1970; Le Yn n’a pas signalé les cas de tuberculose en 1924 jusqu’à 1955. La tularémie a été ajoutée à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1930, enlevée après 1982 puis ajoutée de nouveau en 2002. Les provinces et les territoires n'ont pas signalé les cas de tularémie en 1930. De 2013 à 2016, les données provenant du Québec pouvaient comprendre des cas probables de tularémie. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n’a pas signalé les cas de tularémie en 1931 jusqu’à 1933, 1935, 1954 jusqu’à 1956, et 1958; La C.-B. n’a pas signalé les cas de tularémie en 1931 jusqu’à 1935; Le Man. n’a pas signalé les cas de tularémie en 1931 jusqu’à 1933; Le N.-B. n’a pas signalé les cas de tularémie en 1931 jusqu’à 1955; La N.-É. et le Yn n’ont pas signalé les cas de tularémie en 1931 jusqu’à 1956; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de tularémie en 1931 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; L’Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de tularémie en 1931 jusqu’à 1956, 1958, et 1960 jusqu’à 1979; Le Qc n’a pas signalé les cas de tularémie en 1931 jusqu’à 1948, et 1954 jusqu’à 1956. La typhoïde est déclarée depuis 1924. La typhoïde a été retirée de la liste des maladies à déclaration obligatoire après 1952 puis ajoutée de nouveau en 1969. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de typhoïde en 1924 jusqu’à 1952; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de typhoïde en 1924 jusqu’à 1928; Le Yn n’a pas signalé les cas de typhoïde en 1924 jusqu’à 1952. La typhoïde et la paratyphoïde ont été ajoutées à la liste des maladies à déclaration obligatoire en 1953 et enlevée après 1968. Les populations des territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de typhoïde et la paratyphoïde en 1952 jusqu’à 1958, et 1960 jusqu’à 1962; Le Yn n’a pas signalé les cas de typhoïde et la paratyphoïde en 1952 jusqu’à 1955. La varicelle est déclarée depuis 1924. La varicelle a été retirée de la liste des maladies à déclaration obligatoire après 1958 puis ajoutée de nouveau en 1986. En 2011 jusqu’à 2016, l'Ontario a informé la SSMDC qu'il y a eu une sous-déclaration systématique des cas de varicelle dans sa juridiction. Les T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : L’Alb. n'a pas signalé les cas de varicelle en 1956 jusqu’à 1958; La C.-B. n'a pas signalé les cas de varicelle en 1993 jusqu’à 2016; Le Man. n'a pas signalé les cas de varicelle en 1988 jusqu’à 2016; Le N.-B. n'a pas signalé les cas de varicelle en 1956 jusqu’à 1958; Les T.-N.-L. n'a pas signalé les cas de varicelle en 1957, 1958, et 2016; La N.-É. n'a pas signalé les cas de varicelle en 1998 jusqu’à 2016; Les T.N.-O n'a pas signalé les cas de varicelle en 1924 jusqu’à 1958; L'Î.-P.-É. n'a pas signalé les cas de varicelle en 1924 jusqu’à 1929, 1957, et 1958; L’Ont. n'a pas signalé les cas de varicelle en 1991, 1992, 2009, et 2010; Le Qc n'a pas signalé les cas de varicelle en 1988 jusqu’à 2016; La Sask. n'a pas signalé les cas de varicelle en 1957, 1996, 1997, et 2001 jusqu’à 2016; Le Yn n'a pas signalé les cas de varicelle en 1924 jusqu’à 1955, et 2009 jusqu’à 2012. La variole est déclarée depuis 1924. La variole a été retirée de la liste des maladies à déclaration obligatoire après 1981 puis ajoutée de nouveau en 2002. T.-N.-L. fait partie de la confédération depuis 1949. La déclaration de maladies dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire a commencé en juillet. En 2014, la Saskatchewan a indiqué l'âge dans un format qui est impossible à intégrer aux données à l'heure actuelle; ainsi, ces cas figurent dans la catégorie des âges non précisés. Les données de 2015 provenant du Nunavut sont des données provisoires et peuvent faire l’objet de modifications. Les populations des provinces et territoires suivants ne sont pas incluses dans le calcul du taux pour les années indiquées : La N.-É. n’a pas signalé les cas de variole en 1925 et 1926; Les T.N.-O. n’ont pas signalé les cas de variole en 1924 jusqu’à 1958, 1960 jusqu’à 1962; L'Î.-P.-É. n’a pas signalé les cas de variole en 1924 jusqu’à 1930, 1957, 1958, et 1961 jusqu’à 1978; Le Yn n’a pas signalé les cas de variole en 1924 jusqu’à 1955. Descriptions des maladies Amibiase L'amibiase (dysenterie amibienne) est une infection intestinale provoquée par le parasite Entamoeba histolytica. La transmission se fait par absorption de nourriture contaminée d'une personne infectée ou d'eau contenant des kystes amibiens. L'infection se manifeste fréquemment dans des lieux à forte affluence, dans des situations où les habitudes d'hygiène sont mauvaises et chez les hommes ayant des relations sexuelles avec d'autres hommes. Autres méningites bactériennes La méningite est une infection des trois membranes (appelées méninges) qui couvrent le cerveau et la colonne vertébrale. Dans la catégorie de la maladie à déclaration obligatoire, soit «Méningite, autres bactéries», la méningite est causée par des bactéries telles que la staphylocoque, le streptocoque du groupe B et les entérobactéries. La définition exclut la méningite à pneumocoques (Streptococcus pneumonia), la méningococcie (Neisseria meningitidis), l'infection de type B de l'Haemophilus influenzae(Hib) et la listériose (Listeria monocytogenes). Les nouveau-nés (dont le système immunitaire n'est pas complètement développé) et les personnes âgées, dont le système immunitaire ne combat plus les infections aussi bien qu'auparavant, sont vulnérables à l'infection, tout comme les gens ayant un traumatisme crânien. Botulisme Le botulisme est une maladie rare mais grave causée par une toxine qui touche le système nerveux et peut entraîner la paralysie. La bactérie Clostridium botulinum, que l'on trouve couramment dans la nature, produit cette toxine. Il existe quatre formes de botulisme : le botulisme d'origine alimentaire, le botulisme par blessure souillée, le botulisme infantile et le botulisme infectieux chez l'adulte (colonies). Certaines sources de botulisme d'origine alimentaire au Canada comprennent les aliments peu acides mis en conserve à la maison, les jus de fruit peu acides mal conservés et la viande de mammifère marin et le poisson fermentés. Brucellose La brucellose est une maladie infectieuse causée par la bactérie Brucella. Ces bactéries sont principalement transmises entre animaux et elles provoquent la maladie chez différents vertébrés. Différentes espèces de Brucella s'attaquent aux moutons, aux chèvres, au bétail, aux cerfs, aux wapitis, aux chiens et à plusieurs autres animaux. Elle est généralement transmise par les produits laitiers non pasteurisés ou lors d'un contact avec des tissus contaminés. Campylobactériose La campylobactériose est une maladie gastrointestinale aiguë causée par les bactéries Campylobacter. Une personne est infectée en mangeant de la nourriture contaminée ou en buvant de l'eau contaminée ou du lait cru. L'infection peut également être contractée après un contact rapproché avec une autre personne infectée ou un animal. La maladie est caractérisée par la diarrhée, les douleurs abdominales, les malaises, la fièvre, les nausées et les vomissements. Chlamydiose La chlamydiose est une infection transmissible sexuellement causée par la bactérie Chlamydia trachomatis. Les femmes sont plus susceptibles d'être touchées par les complications d'une infection non traitée, qui comprennent notamment l'inflammation chronique des organes reproducteurs et l'infertilité. La chlamydia non traitée chez une femme enceinte peut être transmise à ses bébés au moment de l'accouchement, ce qui peut provoquer des infections oculaires ou pulmonaires chez le nouveau-né. La chlamydiose génitale augmente le risque de contracter ou de transmettre le VIH. La plupart des sujets infectés par Chlamydia sont asymptomatiques, ce qui souligne l'importance d'effectuer régulièrement des tests de dépistage et de proposer un traitement rapide aux personnes sexuellement actives. L'infection peut toutefois être traitée avec un antibiotique approprié. Choléra Le choléra est une maladie entérique aiguë causée par la bactérie Vibrio cholerae. Le choléra classique est caractérisé par l'apparition soudaine de débâcle diarrhéique liquide sans douleur, souvent appelée « selles riziformes ». S'il n'est pas traité, le choléra peut provoquer une déshydratation rapide, un collapsus circulatoire, une insuffisance rénale et entraîner la mort. L'infection se contracte en mangeant de la nourriture ou en buvant de l'eau contaminée par les selles ou le vomi d'une personne infectée. Coqueluche La coqueluche est une infection fortement contagieuse des voies respiratoires causée par une bactérie nommée Bordetella pertussis. Elle se transmet facilement d'une personne à l'autre par les sécrétions ou les gouttelettes provenant du nez ou de la bouche d'une personne infectée. La maladie est caractérisée par des quintes de toux sévères qui peuvent être ou ne pas être associées à la toux coquelucheuse classique produite à l'inspiration (le fameux son semblable à celui qu'un coq émet). La coqueluche peut être évitée par la vaccination. Le Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) recommande l'immunisation contre la coqueluche. Cryptosporidiose La cryptosporidiose est une infection intestinale causée par des parasites du genre Cryptosporidium. Ce parasite peut être transmis de plusieurs façons, toutefois l'eau est une méthode de transmission courante. Les personnes présentant un risque accru d'infection incluent les personnes ayant un contact rapproché avec des personnes infectées (foyers, famille, travailleurs de soins de santé et de soins de jour); des personnes travaillant avec des animaux (p. ex. du bétail ou des moutons); des personnes qui ont ingéré de l'eau contaminée lors de loisirs (p. ex. au lac, au fleuve, à la piscine ou dans une baignoire chaude) ou de l'eau potable contaminée, et des personnes voyageant dans des zones endémiques. Des éclosions ont été signalées dans des garderies, chez des consommateurs d'eau récréative et dans les municipalités dont l'eau potable était contaminée. Cyclosporiase La cyclosporiase est une infection intestinale causée par le parasite Cyclospora cayetanensis. Les personnes qui vivent ou travaillent dans les régions tropicales ou subtropicales peuvent présenter un risque accru car la cyclosporiase est endémique dans certains pays en développement. Les symptômes incluent la diarrhée liquide, la perte d'appétit, la perte de poids, les ballonnements et les crampes abdominales, l'augmentation des gaz, la fatigue et de la fièvre légère. Les éclosions d'origine alimentaire de cyclosporiase au Canada et aux États-Unis ont été liées aux divers types de produits frais importés. Diarrhée associée à Clostridium difficile Clostridium difficile ou C. difficile est une bactérie qui cause la diarrhée et d'autres maladies intestinales graves. Elle est la cause de diarrhées infectieuses la plus répandue dans les hôpitaux et les établissements de soins de longue durée au Canada. C. difficile provoque des maladies en libérant des toxines qui détruisent la paroi intestinale, ce qui cause des ballonnements et une diarrhée liquide fréquente. D'autres symptômes tels que des douleurs et une sensibilité abdominales aiguës et/ou de la fièvre peuvent survenir. Les infections à C. difficile sont les causes les plus courantes de colite pseudo-membraneuse (ou inflammation du côlon). Dans de rares cas, C. difficile peut entraîner une maladie plus grave et mortelle comme une perforation intestinale ou un syndrome colectasique. Diphtérie La diphtérie est une maladie qui touche principalement les voies respiratoires supérieures; elle est due à la bactérie Corynebacterium diphtheriae. Cette bactérie se transmet le plus souvent par contact direct entre les gens. La diphtérie peut être évitée par la vaccination. Parmi les symptômes de la diphtérie, on compte notamment le développement d'une épaisse membrane grise dans le nez, la bouche ou la gorge. Cette membrane peut s'étendre aux voies respiratoires si elle n'est pas traitée. Le Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) recommande l'immunisation contre la diphtérie. Dysenterie (type non précisé) Lorsque le type précis de dysenterie n'est pas disponible, les provinces et les territoires ont eu le choix de déclarer les cas comme étant « non spécifiés ». Empoisonnement alimentaire Empoi alim L'empoisonnement alimentaire est un terme général utilisé pour décrire une maladie vraisemblablement transmise par la nourriture. La maladie peut avoir été causée par une bactérie, un virus ou une intoxication d'origine alimentaire. Fièvre jaune La fièvre jaune est une fièvre hémorragique d'origine zoonotique causée par un flavivirus transmis par les moustiques Aedes aegypti. La fièvre jaune évolue en trois phases : le sujet présente d'abord une fièvre avec des symptômes de maux de tête, de la faiblesse, des nausées et des vomissements; ensuite, il passe par une période brève de rémission; puis, il peut présenter une fièvre hémorragique avec des vomissements de sang, la jaunisse, les saignements généralisés, le choc et la défaillance de plusieurs organes. Un vaccin très efficace qui induit une immunité à long terme (10 ans) est accessible. Fièvre scarlatine et l'angine à streptocoques La scarlatine est une maladie causée par le streptocoque du groupe A, une bactérie que l’on trouve couramment dans la gorge et sur la peau. Cette bactérie cause également la pharyngite streptococcique. La scarlatine apparaît souvent sous forme de rash et s’accompagne d’une forte fièvre et de lésions au niveau de la langue lui donnant l’aspect d’une framboise. La maladie affecte le plus souvent les enfants de 5 à 18 ans, mais les adultes peuvent également être touchés. Fièvres hémorragiques virales Les fièvres virales hémorragiques sont un groupe de maladies causées par des virus. Une fièvre virale hémorragique est une maladie hautement infectieuse et souvent fatale causée par différents types de virus. Le virus d'Ebola, le virus de Marburg, la fièvre de Lassa, la fièvre hémorragique de Crimée-Congo et de la fièvre de la vallée du Rift sont des virus qui peuvent causer des fièvres virales hémorragiques chez les animaux et les humains. Parmi les symptômes figurent une fièvre soudaine, une sensation de malaise, des maux de tête, le mal de gorge, des douleurs abdominales, des vomissements, la diarrhée et des hémorragies. Ces symptômes sont généralement suivis par l'effondrement de la personne, d'un état de choc suivi d'un arrêt des organes et de saignements. Dans la plupart des cas de fièvre virale hémorragique, il n'existe aucun remède ou vaccin. On peut hospitaliser les personnes qui ont contracté une fièvre virale hémorragique et leur dispenser des soins de soutien complets dans une unité de soins intensifs, les mettre en isolement strict pour éviter une propagation de la maladie et maintenir les concentrations des liquides organiques et des électrolytes. On a utilisé des médicaments antiviraux pour certains patients. Les infections et les éclosions de fièvre virale hémorragique se produisent généralement dans des pays en voie de développement. Giardiase La giardiase est une infection intestinale causée par le parasite Giardia. Le Gardia peut être transmis de plusieurs façons différentes, mais l'eau est la méthode de transmission la plus courante. La transmission d'une personne à l'autre est courante dans des conditions de mauvaise hygiène personnelle. Des éclosions peuvent survenir dans la collectivité à la suite de l'ingestion de spores provenant d'aliments contaminés par des matières fécales ou d'eau non filtrée. La maladie clinique est caractérisée par des diarrhées chroniques, des crampes abdominales, des ballonnements, la perte de poids et la fatigue. La giardiase est généralement asymptomatique et se résout spontanément chez les personnes en bonne santé; néanmoins les personnes infectées par le VIH et les personnes immunodéprimées peuvent souffrir d'une maladie plus grave et plus longue. Gonorrhée La gonorrhée est une infection transmise sexuellement causée par la bactérie Neisseria gonorrhoeae. Le taux de gonorrhées est plus élevé chez les hommes, mais les femmes sont plus susceptibles de présenter des complications graves telles que l'inflammation chronique des organes reproducteurs, l'infertilité ou la propagation de l'infection à tout le corps. De nombreuses infections peuvent être asymptomatiques, cependant même les infections « silencieuses » peuvent entraîner des complications graves et les nourrissons mis au monde par une mère infectée peuvent développer des infections oculaires ou sanguines. La gonorrhée génitale peut accroître le risque de contracter ou de transmettre le VIH. De nombreuses personnes infectées par la gonorrhée ne présentent aucun symptôme, d'où l'importance d'effectuer régulièrement des tests de dépistage et de proposer un traitement rapide aux personnes sexuellement actives. La gonorrhée peut être traitée avec un antibiotique approprié, toutefois la résistance à plusieurs catégories d'antibiotiques s'est accrue et à l'heure actuelle, il existe moins d'options de traitement. Hépatite (type non précisé) Lorsque le type précis d'hépatite n'est pas disponible, les provinces et les territoires ont le choix de déclarer les cas comme étant « non spécifiés ». Hépatite A L'hépatite A est une infection du foie causée par le virus de l'hépatite A (VHA). L'infection se produit lorsque l'on met dans la bouche quelque chose qui a été contaminé par des fèces (excréments) contenant le virus. Au Canada, le VHA peut s'attraper par contacts domestiques ou sexuels avec des personnes infectées, en voyageant dans des pays où il abonde ou en vivant dans des communautés avec une hygiène inadéquate. Parmi les symptômes propres à une infection au VHA, signalons la fièvre, la perte d'appétit, la nausée, les douleurs à l'estomac, l'urine foncée, ainsi que le jaunissement de la peau et des yeux (jaunisse). Contrairement à l'hépatite B et C, aucune personne infectée ne garde en permanence le virus. Il est possible de se prémunir contre le VHA grâce à l'immunisation. Hépatite B L'hépatite B est une infection du foie causée par le virus de l'hépatite B. Le virus se transmet principalement par le sang ou les liquides organiques, les rapports sexuels non protégés, l'utilisation d'aiguilles et autres objets pointus qui ont été en contact avec du sang ou des membranes de muqueuse, ainsi que de la mère à l'enfant pendant la grossesse et le travail. Le virus de l'hépatite B est endémique dans certaines régions du monde; il est considéré comme un risque professionnel majeur pour le personnel des soins de santé. Les personnes infectées peuvent perdre l'appétit, avoir des nausées et des vomissements, des douleurs abdominales, de la fatigue et un jaunissement de la peau et des membranes de muqueuse (jaunisse). Certaines personnes qui sont infectées chroniquement par le virus de l'hépatite B peuvent développer une cirrhose (cicatrisation) du foie, une insuffisance hépatique ou un cancer du foie. Il est important de se faire dépister, car le virus de l'hépatite B peut être traité et évité grâce à l'immunisation. Hépatite C L'hépatite C est une infection du foie causée par le virus de l'hépatite C. Le virus se transmet par le sang ou les liquides organiques, les tissus, les aiguilles infectées et autres objets pointus qui ont été en contact avec du sang infecté ou des membranes de muqueuse, ainsi que de la mère à l'enfant au cours de la grossesse et du travail. Bien qu'il soit asymptomatique chez la plupart des personnes, le virus de l'hépatite C peut causer la perte d'appétit, des nausées et des vomissements, des douleurs abdominales, une fatigue extrême et un jaunissement de la peau et des yeux (jaunisse). Environ 85 % des personnes infectées par le virus de l'hépatite C peuvent développer une infection chronique, qui, si elle n'est pas traitée, peut évoluer en cirrhose du foie (cicatrisation, cancer du foie ou insuffisance hépatique). Il est important de faire un test de dépistage, car la majorité des infections par le virus de l'hépatite C au Canada peut être traitée. Hépatite non-A, non-B L'hépatite non-A, non-B était le nom de type d'infection donné pour toute infection de l'hépatite virale avant que le virus de l'hépatite C ou tous autres types de virus de l'hépatite ont été identifiés. Infection à Escherichia coli producteur de vérotoxine L'infection à Escherichia coli vérotoxinogène est une maladie gastrointestinale aiguë causée par une vérotoxine produisant la bactérie Escherichia coli. La bactérie Escherichia coli o157:h7 est la cause la plus courante des éclosions et des cas sporadiques, toutefois à la fois Escherichia coli o157:h7 et l'infection à Escherichia coli vérotoxinogène font partie des maladies à déclaration obligatoire à l’échelle nationale. La maladie clinique se caractérise par des diarrhées (souvent sanglantes), des crampes abdominales (la fièvre est souvent absente); elle peut être compliquée par le syndrome hémolytique et urémique chez les enfants de moins de cinq ans. Les infections à Escherichia coli vérotoxinogène sont généralement causées par la consommation de nourriture contaminée ou l'ingestion d'eau contaminée ou par un contact direct avec une personne malade ou avec des animaux qui portent la bactérie. Les infections d'origine alimentaire peuvent être causées par du bœuf mal cuit, des fruits et des légumes crus, y compris les pousses; le lait non pasteurisé (cru) et les produits laitiers (crus), y compris le fromage à base de lait cru et le jus de pomme ou le cidre non pasteurisé. Infection à norovirus Les norovirus sont un groupe de virus qui causent la gastro-entérite, une maladie qui provoque généralement des diarrhées et des vomissements. On trouve couramment des norovirus qui sont très infectieux en Amérique du Nord. Les éclosions de norovirus peuvent survenir toute l'année mais elles sont plus courantes en hiver et elles touchent tous les groupes d'âge. Les norovirus sont transmis par la consommation de nourriture ou d'eau contaminée ou se propagent d'une personne à l'autre ou après un contact avec des objets contaminés. Infection invasive à Haemophilus influenzae de sérotype b L'infection invasive à Haemophilus influenzae est une infection bactérienne qui provoque une maladie grave chez les enfants. Elle est transmise par contact direct, par contact oral ou par contact avec des objets contaminés. Il existe six types distincts de bactéries H. influenzae ainsi que d'autres bactéries non typées. Avant l'introduction du vaccin en 1985, H. influenzae de sérotype b (Hib) était la cause la plus courante de méningite bactérienne chez les jeunes enfants au Canada. Entre 1988 et 2004, le nombre de cas signalés de Hib chez les enfants de moins de cinq ans a chuté de près de 97 %. Le Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) recommande l'immunisation contre l'Hib. Infection invasive à Haemophilus influenzae de sérotypes non-b L'infection invasive à H. influenzae est une infection bactérienne qui provoque une maladie grave chez les enfants. Elle est transmise par contact direct, par contact oral ou par contact avec des objets contaminés. Il existe six types distincts de bactéries H. influenzae ainsi que d'autres bactéries non typées. Avant l'introduction du vaccin en 1985, H. influenzae de sérotype b (Hib) était la cause la plus courante de méningite bactérienne chez les jeunes enfants au Canada. Au cours des dernières années, la plupart des infections invasives à H. influenzae sont provoquées par les sérotypes autres que le sérotype b. À l'heure actuelle, il n'existe aucun vaccin pour la prévention de l'infection invasive à H. influenzae de sérotype non-b. Infection invasive à Streptococcus pneumoniae (pneumocoque) L'Infection invasive à Streptococcus pneumoniæ (pneumocoque), ou la pneumococcie invasive est une maladie aigüe grave causée par la bactérie Streptococcus pneumoniæ. La maladie invasive peut donner lieu à plusieurs syndromes comme la bactériémie, la méningite et la pneumonie bactérienne. Le Comité consultatif national de l'immunisation recommande que le vaccin antipneumococcique fasse partie du calendrier d'immunisation de routine de tous les enfants en bas âge. Infection invasive à méningocoques La méningococcie invasive est une maladie aiguë et grave due à la bactérie Neisseria meningitidis. La maladie peut entraîner l'apparition d'une méningite, caractérisée par une infection bactérienne des liquides et des membranes (les méninges) qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière, ou d'une septicémie. Le Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) recommande l'immunisation contre la méningococcie. Infection invasive à streptocoques de groupe B chez le nouveau né Le Streptococcus agalactiae est un streptocoque Gram positif qui se caractérise par la présence d'un antigène du groupe B de Lancefield et qui peut causer des maladies graves et parfois entraîner la mort, en particulier chez les nouveau-nés, bien que de nombreuses personnes soient porteuses du streptocoque du groupe B et ne le savent pas puisqu'elles ne sont pas symptomatiques. Les bactéries du streptocoque du groupe B vivent dans les intestins et dans les voies urinaires et génitales. Les femmes enceintes peuvent transmettre la bactérie à leur bébé pendant le travail d'accouchement et l'accouchement. Afin de prévenir une infection streptococcique du groupe B chez le nouveau-né, les femmes enceintes subissent un test de dépistage à 35 ou 37 semaines de grossesse et reçoivent un traitement si le résultat est positif. Il n'existe pour l'instant aucun vaccin contre le streptocoque du groupe B. Infection invasive à streptocoques du groupe A L'infection invasive à streptocoque du groupe A est causée par les Streptococcus pyogenes. La bactérie se transmet par contact direct ou par inhalation des sécrétions orales ou nasales d'une personne infectée. L'infection peut également se produire à la suite d'un contact direct avec des sécrétions provenant de plaies infectées. La plupart des infections avec cette bactérie entraînent des maladies qui ne sont pas mortelles telles que l'angine streptococcique ou l'impétigo. La maladie invasive est une forme grave d'infection qui se produit lorsque la bactérie pénètre dans des parties de l'organisme d'où les bactéries sont généralement absentes, telles que la circulation sanguine. Elle peut entraîner des maladies graves telles que la septicémie, la méningite ou la fasciite nécrosante. Infection par le virus de l'immunodéficience humaine Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) endommage le système immunitaire et entraîne l'apparition du SIDA s'il n'est pas traité. Le VIH peut être transmis lors d'un rapport sexuel, du partage d'aiguilles, d'une transfusion de sang ou de produits sanguins, ou il peut être transmis par une mère infectée par le VIH à son enfant (pendant la grossesse, lors de l'accouchement par voie vaginale ou au cours de l'allaitement). Le VIH est une infection qui dure toute la vie, mais le virus peut être contrôlé grâce à la prise d'une combinaison de médicaments connus sous le nom de traitement antirétroviral hautement actif. Infection par le virus du Nil occidental Le virus du Nil occidental (VNO) appartient à la famille de virus appelés « flavivirus » qui peuvent infecter les hommes, les oiseaux, les chevaux et les moustiques. Le virus du Nil occidental est étroitement lié aux virus qui causent la dengue, la fièvre jaune et l'encéphalite de Saint-Louis. Les preuves indiquent que la plupart des personnes infectées avec le virus du Nil occidental l'ont contracté à cause d'une piqûre de moustique infecté. Les personnes de tous âges, quel que soit leur état de santé, peuvent développer des effets graves sur la santé à cause du virus du Nil occidental, cependant le risque global d'effets grave sur la santé augmente avec l'âge. Les personnes dont le système immunitaire est affaibli présentent également un plus grand risque d'effets graves sur la santé. Reste que le virus du Nil occidental est généralement contracté à l'extérieur pendant la saison des moustiques qui, au Canada, va de la mi-avril à octobre. Influenza confirmée en laboratoire L'influenza, ou la grippe, est une infection respiratoire causée par le virus de l'influenza. Différentes souches de ce virus circulent chaque année et rendent les gens malades. La grippe se manifeste habituellement par un mal de tête, de la toux et des frissons, suivis rapidement d'une fièvre, d'une perte d'appétit, de douleurs musculaires, de fatigue, d'écoulement nasal, d'éternuements, de larmoiements et d'une irritation de la gorge. La grippe peut aussi provoquer des nausées, des vomissements et de la diarrhée, en particulier chez les enfants. La plupart des gens se rétabliront en l'espace d'une semaine ou de 10 jours, mais certaines personnes (dont celles âgées de plus de 65 ans et les adultes et enfants atteints d'une maladie chronique comme le diabète et le cancer) présentent un risque accru de complications graves, comme la pneumonie.Les données sur la grippe ont été recueillies en fonction de deux descriptions dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire : la grippe épidémique de 1924 à 1959 et la grippe confirmée en laboratoire à partir de l'année 2000. Influenza épidemique L'influenza, ou la grippe, est une infection respiratoire causée par le virus de l'influenza. Différentes souches de ce virus circulent chaque année et rendent les gens malades. La grippe se manifeste habituellement par un mal de tête, de la toux et des frissons, suivis rapidement d'une fièvre, d'une perte d'appétit, de douleurs musculaires, de fatigue, d'écoulement nasal, d'éternuements, de larmoiements et d'une irritation de la gorge. La grippe peut aussi provoquer des nausées, des vomissements et de la diarrhée, en particulier chez les enfants. La plupart des gens se rétabliront en l'espace d'une semaine ou de 10 jours, mais certaines personnes (dont celles âgées de plus de 65 ans et les adultes et enfants atteints d'une maladie chronique comme le diabète et le cancer) présentent un risque accru de complications graves, comme la pneumonie.Les données sur la grippe ont été recueillies en fonction de deux descriptions dans le Système d'information sur les maladies à déclaration obligatoire : la grippe épidémique de 1924 à 1959 et la grippe confirmée en laboratoire à partir de l'année 2000. Intoxication à la phycotoxine paralysante L'intoxication due à la phycotoxine paralysante est une maladie rare mais grave causée par l'ingestion de mollusques ou crustacés contenant des niveaux élevés de biotoxines marines. Les symptômes peuvent se déclarer après quelques minutes et jusqu'à 10 heures après avoir mangé les mollusques contaminés. Les symptômes sont généralement légers et commencent par une sensation d'engourdissement ou des picotements sur le visage, les bras et les jambes, puis arrivent des maux de tête, des vertiges, des nausées et l'incoordination musculaire. En cas d'empoisonnement grave, il peut se produire une paralysie des muscles et une insuffisance respiratoire qui peuvent être mortelles. Légionellose La légionellose est une maladie des voies respiratoires causée par la bactérie Legionella. L'infection est contractée en inhalant des gouttelettes d'eau dans l'atmosphère contaminées avec la bactérie. La légionellose regroupe deux maladies distinctes : la maladie du légionnaire et la fièvre de Pontiac. Les deux maladies sont associées à de la perte d'appétit, des douleurs musculaires, des maux de tête et de la fièvre. La maladie du légionnaire comprend l'évolution de l'infection en pneumonie alors que la fièvre de Pontiac est une forme d'infection qui se guérit spontanément sans évoluer vers une maladie plus grave telle que la pneumonie. Lèpre La lèpre, également appelée maladie de Hansen, est une maladie chronique de la peau, des nerfs périphériques et de la muqueuse des voies aériennes supérieures (le nez et la gorge) provoquée par la bactérie Mycobacterium leprae. La lèpre afflige l'humanité depuis les temps anciens, entraînant avec elle son lot de mutilations, de rejets et d'exclusions de la société. On estime entre 1 et 2 millions le nombre de personnes au monde qui ont contracté la lèpre et qui nécessitent des soins de la part de la communauté où elles vivent. La maladie est rare au Canada. Listériose La listériose invasive est une maladie rare mais grave causée par la bactérie Listeria monocytogenes. Les Listeria monocytogenes (plus communément appelée Listeria) sont des bactéries que l'on trouve souvent dans la nourriture et dans la nature. Les femmes enceintes, les personnes âgées et les personnes ayant un système immunitaire affaibli présentent un risque accru. La maladie peut causer une méningo-encéphalite (une infection du cerveau et des tissus qui l'entourent) ou une septicémie (empoisonnement du sang) qui peuvent toutes les deux entraîner la mort. Les femmes enceintes ressentent en général les symptômes d'une maladie semblable à une légère grippe. Les infections pendant la grossesse peuvent cependant provoquer une fausse-couche, l'accouchement d'un mort-né ou la naissance d'un enfant atteint d'une maladie aiguë. Certains aliments sont plus susceptibles de porter la bactérie que d'autres. Les produits présentant un risque accru incluent le lait cru ou contaminé, les fromages à pâte molle et les viandes prêtes-à-manger comme par exemple les saucisses de Francfort, les pâtés et la charcuterie. Maladie de Creutzfeldt-Jakob La maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) est une maladie infectieuse neurodégénérative rare et mortelle connue sous le nom de maladie à prion. L'agent infectieux de ces maladies (un prion) est une forme anormale (PrPSc) d'une protéine cellulaire normale (PrPC). La maladie de Creutzfeldt-Jakob classique existe sous trois formes : sporadique, génétique et infectieuse. Les formes sporadique et génétique représentent à elles seules 95 à 99 % des 1 à 2 cas de maladie de Creutzfeldt-Jakob classique qui surviennent chaque année au sein de la population humaine. La transmission infectieuse de la maladie de Creutzfeldt-Jakob classique s'est produite lors de l'utilisation d'équipement médical ou de produits thérapeutiques (dure-mère, hormone de croissance humaine). Une autre maladie du prion infectieuse transmise à l'homme a été récemment découverte; il s'agit de la variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob qui est liée à l'exposition à l'encéphalopathie spongiforme bovine, maladie du bétail liée aux prions. Dans un faible nombre de cas, la variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob a également été transmise par transfusion sanguine. Il peut s'avérer difficile de diagnostiquer la maladie de Creutzfeldt-Jakob, car son apparence clinique peut varier et peut chevaucher les symptômes d'autres maladies neurodégénératives plus courantes telles que la maladie d'Alzheimer. C'est pourquoi l'examen neuropathologique demeure la norme de référence pour établir un diagnostic. À l'heure actuelle, il n'existe pas de traitement pour la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Maladie de Lyme La maladie de Lyme est causée par la bactérie Borrelia burgdorferi qui infecte les animaux sauvages (principalement les rongeurs et les oiseaux) et est transmis par les tiques, des petits parasites ressemblant à des araignées qui se nourrissent de sang qui sont actifs du printemps à l'automne dans certains endroits au Canada. Les gens peuvent être infectés s'ils vivent, travaillent ou ont des activités de loisir dans les régions boisées où vivent les tiques, car les tiques se nourrissent sur les humains aussi bien que sur les animaux. La maladie de Lyme a progressé au Canada, car les tiques se propagent au sud-est et au centre-sud du Canada. Il y a également des risques de maladie de Lyme dans le sud de la Colombie-Britannique. Il n'existe pas de vaccin pour la maladie de Lyme mais elle peut être évitée en prenant des précautions simples. Maladie du charbon La maladie du charbon (l'anthrax) est une infection due à la bactérie Bacillus anthracis. La bactérie forme des spores qui peuvent vivre dans le sol pendant de nombreuses années. L'anthrax est généralement présent chez les animaux d'élevage, notamment les vaches et les moutons. Il s'agit d'une maladie rare chez l'être humain. Les humains peuvent être infectés par la peau, l'estomac ou les poumons. Les symptômes varient en fonction du mode de transmission; les symptômes les plus graves découlent de l'infection des poumons. La prévention inclut des mesures appropriées d'élimination des carcasses et la vaccination. Méningite à pneumocoques La méningite à pneumocoques est une infection des trois membranes (appelées méninges) qui couvrent le cerveau et la colonne vertébrale causée par la bactérie Streptococcus pneumoniae. Elle atteint les nourrissons, les personnes âgées et certains groupes à risque élevé. Méningite virale La méningite virale est une infection des trois membranes (appelées méninges) qui couvrent le cerveau et la colonne vertébrale et est causée par plusieurs virus, y compris les entérovirus, le virus coxsackie des groupes A et B, les échovirus, les arbovirus, les virus de l'herpes simplex, le virus de la rougeole et les adénovirus. Oreillons Les oreillons sont une maladie infectieuse aiguë causée par le virus des oreillons (paramyxovirus). Cette maladie est caractérisée par le gonflement des glandes salivaires sous la mâchoire et à l'intérieur des joues. La maladie se propage par contact direct avec les sécrétions du nez ou de la bouche d'une personne infectée ou par l'inhalation de ces sécrétions. Le Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) recommande l'immunisation contre les oreillons. Paludisme Le paludisme est une infection aiguë, récurrente ou chronique provoquée par un des quatre parasites de la malaria (Plasmodium). La gravité de celle-ci dépend de l'espèce du parasite responsable de la maladie. Des quatre espèces (Plasmodium falciparum, P. vivax, P. ovale et P. malariae), le falciparum est le plus mortel. Une infection aiguë à falciparum peut entraîner l'apparition de la malaria cérébrale accompagnée de crises d'épilepsie, de coma, d'insuffisance rénale et de décès. Il peut également se produire une infection mixte. Paralysie flasque aiguë La paralysie flasque aiguë est une conséquence possible de la poliomyélite qui entraîne l'apparition soudaine de paralysie dans un ou plusieurs membres en raison de la destruction des cellules nerveuses qui activent les muscles. Parmi les autres causes de la paralysie flasque aiguë, on compte notamment le syndrome de Guillain-Barré (SGB) et différentes maladies neurologiques aiguës. La surveillance de la paralysie flasque aiguë est la stratégie recommandée par l'Organisation mondiale de la Santé afin de surveiller la polio dans les pays tels que le Canada où cette maladie a été éliminée. Paratyphoïde La paratyphoïde est une maladie gastrointestinale provoquée par la bactérie Salmonella paratyphi. Le tableau clinique de la maladie est semblable à celui de la fièvre typhoïde, quoiqu'un peu plus bénin. La paratyphoïde se manifeste moins souvent que la fièvre typhoïde. La paratyphoïde est courante dans les pays en développement et la plupart des cas au Canada sont contractés pendant des voyages dans des zones endémiques. La maladie est la plupart du temps transmise par l'alimentation et l'eau contaminée avec les fèces (selles) des personnes infectées. Peste La peste est une maladie infectieuse causée par une bactérie appelée Yersinia pestis qui peut infecter autant les animaux que les humains. De nos jours, il est extrêmement rare que des humains contractent la peste. La peste est transmise des animaux aux humains par la morsure de puces infectées, par le contact direct avec des rongeurs infectés ou par l’inhalation ou plus rarement l’ingestion de matériel infectieux. La maladie commence toujours par des symptômes qui s’apparentent à ceux de la grippe (fièvre, frissons, douleurs musculaires, faiblesses et maux de tête) et peut aussi entraîner des nausées, des vomissements, la diarrhée et des douleurs abdominales. Des méthodes de traitement efficaces permettent de guérir presque tous les patients infectés par la peste s’ils sont diagnostiqués à temps. Plusieurs antibiotiques sont efficaces contre la peste. Les cas de peste chez les humains sont très rares au Canada ; le dernier cas a été signalé en 1939. Poliomyélite La poliomyélite (polio) est causée par un virus qui pénètre dans le corps par voie orale, surtout par contamination orofécale. La poliomyélite est plus courante chez les enfants de moins de cinq ans, cependant, toute personne qui n'est pas immunisée au poliovirus, peu importe son âge, peut être infectée. Dans la plupart des cas, la poliomyélite est reconnue par un accès soudain de paralysie musculaire, mais la majorité des personnes infectées n'ont pas l'air malade et se sentent bien. Il n'y a pas de remède contre la poliomyélite, mais on peut la prévenir à l'aide de la vaccination. Rage La rage est une infection sérieuse du cerveau et du cordon médullaire provoquée par un virus. C'est d'abord une maladie qui affecte les animaux, mais elle peut se transmettre aux humains par voie de morsures ou de griffures de la part d'un animal infecté. Sans intervention médicale, le décès survient dans plus de 50 % des cas. Parmi les traitements de la rage, signalons l'administration d'immunoglobuline ou de vaccins contre la rage, ou les deux combinés, comme prescrit. Depuis 1925, 21 personnes sont décédées des suites de la rage au Canada. Rougeole La rougeole est une maladie extrêmement contagieuse due au virus de la rougeole et caractérisée par l'apparition de plaques rouges qui se manifestent en premier lieu sur le visage. La maladie se propage par contact direct avec les sécrétions du nez ou de la bouche d'une personne infectée ou par l'inhalation de ces sécrétions. Elle touche tous les groupes d'âge et peut être évitée par la vaccination. Le Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) recommande l'immunisation contre la rougeole. Rubéole La rubéole est une maladie infectieuse qui entraîne des éruptions exanthémateuses transitoires, une adénopathie, une arthralgie et une légère fièvre. Même si la maladie est bénigne chez la plupart des personnes, chez les femmes enceintes, le virus peut provoquer un avortement spontané ou une infection chez le fœtus pouvant causer des malformations fœtales. La maladie est facilement évitable par la vaccination. Le Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) recommande l'immunisation contre la rubéole. Salmonellose La salmonellose est une maladie gastrointestinale aiguë causée par une bactérie appartenant à la famille des salmonelles. Les symptômes incluent de la fièvre, des crampes abdominales, des vomissements et des diarrhées environ 6 à 72 heures après avoir mangé de la nourriture ou après avoir bu des boissons contaminées. Des enquêtes menées sur les éclosions mettent en cause des aliments tels que la viande, la volaille, les œufs crus ou peu cuits et les produits à base d'œuf, le lait non pasteurisé et les produits laitiers et les fruits et légumes crus. Shigellose La shigellose est une maladie gastrointestinale aiguë causée par un groupe de bactéries qu'on appelle Shigella. La maladie se caractérise par des diarrhées accompagnées de fièvre, de nausées, de vomissements et de crampes. La transmission se fait par la voie oro-fécale. L'infection est ensuite transmise d'une personne à l'autre lors d'un contact direct ou indirectement par les aliments ou l'eau contaminée. Des éclosions sont survenues dans des lieux à forte affluence, dans des situations où les habitudes d'hygiène laissent à désirer et chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes. Syndrome d'immunodéficience acquise Le syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA) est une maladie grave et potentiellement mortelle qui représente la phase clinique avancée du virus de l'immunodéficience humaine (VIH). Le VIH détériore le système immunitaire de la personne qui devient alors très sensible à des infections, des maladies et des cancers particuliers (globalement connues comme les maladies liées au SIDA). Le traitement antirétroviral hautement actif utilisé pour traiter le VIH a permis de prévenir ou de retarder considérablement l'apparition du SIDA pour de nombreuses personnes infectées par le VIH. Syndrome de rubéole congénitale La rubéole congénitale survient lorsque le virus rubéoleux passe d'une mère enceinte infectée à son bébé. L'infection en début de grossesse entraîne fréquemment des handicaps physiques et mentaux chez le bébé, une maladie connue sous le nom d'embryopathie rubéolique. Entre 1986 et 1995, 30 cas d'embryopathie rubéolique ont été signalés au Canada. L'embryopathie rubéolique peut être évitée par la vaccination contre la rubéole. Syndrome pulmonaire à hantavirus Le syndrome pulmonaire à Hantavirus est une infection respiratoire grave causée par un des hantavirus. La transmission s'effectue par l'inhalation d'un aérosol de particules de matières fécales de souris sylvestre. Syndrome respiratoire aigu sévère Le syndrome respiratoire aigu sévère est une infection respiratoire causée par le coronavirus du syndrome. Les personnes touchées par ce syndrome développent de la fièvre, puis des symptômes respiratoires tels que la toux, des essoufflements et de la détresse respiratoire. Dans certains cas, les symptômes deviennent de plus en plus graves et les patients peuvent avoir besoin d'alimentation en oxygène et d'aide mécanique pour respirer. Parmi les autres symptômes du syndrome respiratoire aigu sévère, on compte notamment les douleurs musculaires, les maux de tête, les maux de gorge et la diarrhée. Syphilis La syphilis est une infection transmise sexuellement causée par la bactérie Treponema pallidum. Si elle n'est pas traitée, l'infection se développe en phases évolutives : primaire, secondaire, latence précoce et tertiaire. La syphilis non traitée peut entraîner des complications graves et endommager le système nerveux central, le système cardiovasculaire, les yeux, la peau et d'autres organes internes, provoquant parfois la mort. L'infection par la syphilis peut accroître le risque de contracter ou de transmettre le VIH. Chez les femmes enceintes, la syphilis peut être transmise aux nourrissons, ce qui peut entraîner des complications graves, voire mortelles. Les personnes infectées à la fois par la syphilis et le VIH ont besoin d'être prises en compte de façon spécifique pour traiter et gérer les deux infections. Syphilis congénitale La syphilis congénitale est causée par la transmission verticale de Treponema pallidum d’une mère infectée à son fœtus. La majorité des bébés atteints de syphilis congénitale sont infectés in utero, mais ils peuvent également être infectés au cours de l’accouchement par un contact avec une lésion génitale active. La syphilis peut entraîner de graves complications pendant la grossesse, comme l’avortement spontané, la mortinaissance ou la mort périnatale. Les conséquences pour les enfants nés vivants infectés peuvent être graves, généralement dans les trois premiers mois de leur vie. Elles comprennent l’infirmité motrice cérébrale, l’hydrocéphalie, la surdité de perception et des difformités musculo-squelettiques, toutes des affections qu’il est possible d’éviter par un traitement en temps opportun pendant la grossesse. Cependant, certaines manifestations se développent beaucoup plus tard. Seuls les cas de syphilis congénitale précoce (diagnostiqués chez les nourrissons de moins de deux ans) sont actuellement signalés à l’échelle nationale. Tétanos Le tétanos est une maladie évitable par la vaccination qui est causée par des spores d'un bacille pouvant être présentes dans les intestins des animaux et le sol. Il s'agit d'une maladie souvent mortelle qui touche tous les groupes d'âge. Une personne infectée par le bacille tétanique présente des contractures musculaires douloureuses qui commencent au niveau du cou (avec constriction intense des mâchoires) pour ensuite atteindre les muscles du torse. Le Comité consultatif national de l'immunisation (CCNI) recommande l'immunisation contre le tétanos. Trichinose La trichinose est une maladie gastro-intestinale provoquée par un ver rond, appelé Trichinella spiralis, qui infecte les intestins. Les personnes s'infectent avec Trichinella en consommant de la viande non traitée ou insuffisamment cuite, en particulier de la viande de porc, des produits du porc ou des produits «dérivés du bouf», comme des hamburgers, qui peuvent être mélangés avec du porc. Il est possible de prévenir la trichinose en faisant cuire le porc et les produits du porc à une température et pendant une période suffisante pour que tous les morceaux atteignent 71 °C. Tuberculose La tuberculose est une maladie infectieuse causée par une bactérie appartenant aux Mycobacterium tuberculosis. La plupart des personnes qui contractent le bacille ne développeront jamais activement la maladie. Chez 5 à 10 % des personnes infectées par le bacille et qui présentent un système immunitaire normal, cependant, le bacille commencera à grandir et se répliquer, entraînant une tuberculose active. Chez les personnes ayant un système immunitaire affaibli, le risque de développer la tuberculose est bien plus élevé. La bactérie peut attaquer n'importe quelle partie du corps, notamment le rein, la colonne vertébrale et le cerveau, mais dans la plupart des cas, la bactérie attaque les poumons; c'est ce que l'on appelle la tuberculose pulmonaire.nationally. Tularémie La tularémie est une infection bactérienne qui peut frapper les animaux et qui est présente chez les animaux sauvages en Amérique du Nord. Les animaux sauvages le plus souvent infectés sont les rongeurs, le lapin, le rat musqué et le castor. La tularémie peut se propager des animaux aux humains, bien que cela ne se produise pas fréquemment. La tularémie peuvent se traiter au moyen d'antibiotiques. La tularémie se transmet généralement par contact avec un animal infecté ou encore avec sa cage ou son environnement immédiat. Selon les connaissances actuelles, la tularémie ne se transmet pas d'une personne à l'autre. Les symptômes de la tularémie peuvent être les suivants : ulcères cutanés ou buccaux, ganglions enflés ou douloureux, fièvre soudaine, frissons, maux de tête, diarrhée, douleur musculaire, toux sèche, mal de gorge, faiblesse progressive, douleur aux articulations, yeux enflés et douloureux. Typhoïde La typhoïde est une maladie grave causée par la bactérie Salmonella typhi. La fièvre typhoïde est courante dans les pays en développement et la plupart des cas au Canada sont contractés pendant des voyages dans des zones endémiques. La maladie est la plupart du temps transmise par l'alimentation et l'eau contaminée avec les fèces (selles) des personnes infectées. Parmi les véhicules de propagation importants, on compte les crustacés pêchés dans des eaux contaminées par les eaux usées, les légumes crus, le lait et les produits laitiers contaminés par du bétail infecté ou par les mains d'une personne infectée. Typhoïde et la paratyphoïde La typhoïde et la paratyphoïde sont des maladies gastrointestinales provoquées par deux espèces différentes de la bactérie Salmonella. La fièvre typhoïde est plus courante et plus grave que la paratyphoïde. La plupart des cas de ces deux maladies sont contractés pendant des voyages dans des zones endémiques. Le plus souvent, ces maladies se transmettent par la nourriture et l'eau qui sont contaminées par les fèces (excréments) des personnes infectées. Varicelle La varicelle est une maladie infantile très commune et très contagieuse que l'on trouve dans le monde entier. Les symptômes apparaissent de 10 à 21 jours après l'infection et durent environ deux semaines. Le symptôme déterminant est une éruption de cloques caractéristique qui peut causer une irritation sévère. Même si la maladie est relativement bénigne chez la plupart des enfants, une forme grave de la maladie peut se déclarer chez les adultes et les personnes ayant une immunité amoindrie par une maladie pré-existante ou en raison d'un traitement qu'elles subissent (p. ex. chimiothérapie). Le Comité consultatif national de l'immunisation recommande l'immunisation contre la varicelle. Variole La variole est causée par le virus variolique, un virus du genre orthopoxvirose qui comprend également la vaccine et le virus de la variole du singe. Le virus de la variole ne peut infecter que les humains; il n'a pas de réservoir animal. Il se transmet d'une personne à l'autre, principalement par des gouttelettes de salive. Il peut également être transmis par des aérosols et un contact avec les vêtements ou les articles de literie. Les cas sont plus infectieux pendant la première semaine de la maladie, mais la période d'infectiosité s'étend du développement de la fièvre (quand les premières lésions bucco-pharyngées apparaissent) au moment où les lésions cutanées sont recouvertes d'une croûte. Il n'y a eu aucun cas de variole contractée naturellement depuis 1977. En 1980, l'Organisation mondiale de la Santé a confirmé l'éradication de la variole partout dans le monde. Le 26 octobre 2001, l'Organisation a réaffirmé sa recommandation contre l'immunisation de l'ensemble de la population. Le Comité consultatif national de l’immunisation pense également qu'il n'y a actuellement aucune preuve venant appuyer l'immunisation systématique contre la variole de l'ensemble de la population canadienne.